Patricia
Cavallo: L’environnement numérique.
L’inscription administrative à l’université
ouvre droit à tout étudiant d’avoir un compte de messagerie
et un compte qui lui permette d’accéder aux services numériques
de l’université.
Le cas est un peu particulier puisque nous avons considéré
que le RLE était garant de l’activation de ce compte puisqu’il
lui permettra de télécharger le certificat de scolarité
de l’étudiant, le cas échéant de consulter
les résultats. Dire que le RLE est garant de l’activation
du compte dépend de la possibilité d’accès
à Internet dans le contexte de l’établissement.
Laurence
Havé: Simplification des procédures.
Pour essayer de simplifier les procédures administratives qui sont
lourdes, je rappelle que tout étudiant doit faire son dossier de
candidature. Une fois celui-ci réalisé et accepté,
il doit procéder à son inscription. Souvent, on voit qu’entre
les pièces demandées à la candidature et celles demandées
à l’inscription, bien souvent il y a des répétitions.
Nous savons que les pièces fournies lors de la candidature ont
déjà été données une première
fois il appartient donc au référent établissement
de les recentrer sur le dossier d’inscription. Finalement, le RLE
complète ce dossier, sans avoir à fournir deux fois les
mêmes pièces.
Question : Dephine Heude
Comment fait un détenu pour transmettre des photos d’identités
? Peut-être pour fournir d’autres documents ? Vous arrive-t-il
d’avoir de ce fait des dossiers incomplets ?
Jean-René Gauvreau : Je peux donner
une réponse en tant que RLE. Normalement, chaque détenu
a la possibilité de faire une cantine de photos d’identité
à l’intérieur de la prison. Ces photos ne peuvent
pas lui être remises, car il y a interdiction d’avoir des
photos d’identité sur lui. Le RLE doit donc les récupérer
à l’aide du CPIP, (conseiller pénitentiaire d'insertion
et de probation). Les photos sont par paquets de 8 et généralement
les autres photos sont remises à la fouille de la personne détenue.
Laurence Havé: Ce que je peux dire,
en tant que référente établissement à Paul
Valéry, c’est que depuis 4 ou 5 ans que nous inscrivons des
étudiants incarcérés, nous avons toujours eu la photo
pour permettre de transmettre la carte d’étudiant. Je n’ai
jamais été confrontée au dossier sans photo.
Karine Marot : Nous avons été
confrontés au problème des photos, à l’université
de Marne la Vallée, car la convention nous oblige à remettre
des cartes d’étudiant. Cela a été compliqué,
nous avons obtenu les photos au compte-gouttes, très tard. Beaucoup
de détenus ont beaucoup protesté.
Nous avons fabriqué des dossiers d’inscription spécifiques
et ne demandons jamais de photos aux étudiants s’inscrivant
au DAEU. Nous ne donnons la carte d’étudiant que lorsque
l’étudiant est sorti, et sur sa demande.
Laurence Havé : Dans notre université,
nous avons fait le choix de garder les mêmes documents que pour
n’importe quel autre étudiant. Nous n’avons pas voulu
marquer dessus « étudiant incarcéré »
ou « étudiant détenu ». Nous avons vraiment
le même dossier qui est transmis au RLE, que ce soit pour la candidature
ou l’inscription. Le seul problème rencontré concerne
le numéro de sécurité sociale
de la carte d’assurance maladie. . Dans Apogée, notre système
de gestion des étudiants, nous avons pu délivrer un numéro
de sécurité sociale provisoire et le RLE a effectué
une demande auprès de la CPAM dont dépendait le détenu,
afin de faire une demande pour récupérer son numéro
de sécurité sociale.
Laurence
Havé: L’inscription
pédagogique
C’est la démarche qui est obligatoire et annuelle pour l’inscription
aux enseignements et aux examens. C’est le contrat pédagogique
qui lie l’étudiant et l’université afin qu’il
puisse passer ses épreuves. Il est important, car le service en
charge des ressources numériques doit savoir comment il doit adapter
les ressources, pour lui adresser les cours. Le contrat pédagogique
de l’étudiant est récupéré par le référent
établissement, puis transmis à l’étudiant par
l’intermédiaire du RLE.
On transmet également au RLE le
calendrier universitaire, ce qui est important car sont indiquées
les périodes d’examen. Cela permet au RLE de prévoir
un planning et de savoir qu’à telle ou telle période
il y aura des examens pour l’étudiant incarcéré
et, en cas d’impossibilité dans ces périodes, de prévenir
assez tôt le référent établissement afin d’envisager
des solutions.
Il y a deux ans, nous avons eu cette situation où un étudiant
détenu ne pouvait pas passer ses épreuves d’examen
pendant la période inscrite au calendrier et nous avons pu, en
accord avec la direction de l’établissement, reporter d’une
semaine ses épreuves. Il a donc passé ses épreuves
en décalé car dans le cas particulier des étudiants
incarcérés, il n’y a pas de problème de sortie
de sujet.
Il est donc important d’envoyer au RLE le calendrier universitaire,
pour qu’il mette en place son année avec son étudiant.
Patricia Cavallo,
Le questionnaire « Usages Numériques
».
Nous n’avions pas ce questionnaire les années précédentes.
Nous nous sommes rendu compte que dans chaque établissement pénitentiaire,
les conditions d’apprentissage sont différentes, ce qui nous
a donné l’idée d’élaborer ce questionnaire
envoyé au RLE dès que l’inscription pédagogique
est effectuée.
Il a pour objectif de prendre connaissance des conditions d’apprentissage,
à la fois matérielles et en terme de temps consacré
à l’apprentissage de l’étudiant. Il figure en
annexe du Guide de la Scolarité. Il contient des éléments
concernant les supports acceptés dans l’établissement.
En effet, certains établissements acceptent des supports papier
ou des documents PDF téléchargeables, d’autres acceptent
des CD-ROM, aucun n’accepte des clés USB et la rubrique «
autres » pourrait concerner par exemple des supports pédagogiques
contenus dans des liseuses, des tablettes.
Autre question abordées : L’accès à une salle
multimédia est-il possible ? Pendant quelle durée hebdomadaire
? A-t-il cantiné ? Dispose-t-il d’un ordinateur en cellule
?
Derrière ces questions l’objectif recherché est de
savoir si, dans le cadre de l’enseignement, au-delà des supports
pédagogiques, l’étudiant incarcéré peut
prendre connaissance de fichiers audio ou vidéo, ou utiliser, dans
le cadre de l’auto-évaluation des QCM, permettant un retour
immédiat à ses réponses.
La seconde page envisage les interactions : en terme de soutien méthodologique
à l’étudiant ; de transmission de ses questions aux
enseignants par l’intermédiaire du RLE (par téléphone,
messagerie ; via la plateforme pédagogique) ; d’envoi de
ses devoirs (dans le cadre de l’auto-évaluation, certains
enseignants demandent de produire des documents pour correction).
Nous sommes allés aussi plus loin, en demandant s’il y a
possibilité d’organiser une visio-conférence. Nous
imaginions, si l’établissement disposait d’un tel matériel,
regrouper plusieurs étudiants inscrits dans un même parcours,
afin de construire, non pas sur le modèle de l’université
de Marne-la-Vallée, un dispositif de classe inversée, mais
pouvoir permettre aux étudiants de poser leurs questions directement
à l’enseignant.
Sont encore abordées les modalités d’évaluation
et des informations complémentaires concernant cette reprise d’études.
Cette année, les RLE ont bien joué le jeu et ont retourné
les questionnaires « Usages Numériques » ce qui nous
a beaucoup aidé, en particulier dans la préparation de ressources
numériques.
Questions/réponses
:
Antoine Rauzy : C’est anecdotique, mais
à propos des examens, l’expérience que nous avons
eue, à l’UPMC, concernait les emplois du temps. Il fallait
que l’étudiant soit libre au moment des repas et celui-ci
était situé pendant la plage d’examen.
Laurence Havé : Ce que nous avons décidé
à l’université Paul Valéry découle du
principe de la seconde évaluation des examens. Dans la première
évaluation sont concernés le premier et le second semestre,
l’étudiant désireux d'améliorer ses notes peut
se présenter à la seconde évaluation.
Les examens peuvent se dérouler de 8h à 21h. Il y a une
demi-heure de pause entre chaque épreuve et nous essayons de garder
une heure pour la pause méridienne qui se situe entre 11h30 et
13h30.
Lorsqu’est établi le calendrier des examens, j’effectue
une convocation manuelle en fonction des durées et des horaires
des épreuves écrites. Je l’envoie au RLE et lui demande
s’il peut l’organiser pour son étudiant aux jours et
heures indiqués dans ce calendrier. S’il ne le peut pas,
je lui laisse la possibilité d’adapter ce calendrier, de
manière à ce qu’il puisse organiser les épreuves
dans la semaine.
Dans 90% des cas, une adaptation est nécessaire et souvent, deux
ou trois jours supplémentaires sont ajoutés à la
période d’examen pour ces étudiants.
Véronique Dejardin (CNAM)
: Pour nous, au CNAM, se pose le problème du sujet unique, pour
la France, la métropole, l’étranger. La date reste
impérative, nous ne changeons pas le jour de l’épreuve.
Quant aux horaires de repas, nous acceptons de décaler avant ou
après puisqu’il n’y a pas de problème de fuite
des sujets.
Laurence Havé : Nous sommes un peu
plus large mais j’aborderai plus tard l’organisation des épreuves
mises en place avec le RLE. Tout ce que je vous indique découle
de notre expérimentation à l’Université Paul
Valéry. Nous savons que cela fonctionne parce que nous avons une
démarche collaborative entre le Responsable Local d’Enseignement
et le référent établissement. Cela bien sûr
peut être modifié, ajusté, perfectible… Cette
procédure a été expérimentée et fonctionne
depuis près de 4 ans et nous n’avons jamais connu de souci
majeur.
Patricia Cavallo,
Les ressources pédagogiques.
Je n’irai pas très loin sur ce point car nous aurons un second
atelier spécifique à ce point. Nous prenons en compte le
contrat pédagogique, les résultats du questionnaire «
Usages Numériques », et nous essayons, dans la mesure du
possible, d’adapter nos ressources aux conditions matérielles
de l’étudiant (avec ou sans ordinateur, temps d’apprentissage,
supports autorisés…)
Pour les supports, nous avons une plateforme pédagogique Moodle
et nous avons envisagé d’utiliser la version mobile de Moodle,
de manière à ce que l’étudiant puisse se trouver
dans un environnement d’apprentissage identique à celui qu’ont
les étudiants en EAD, connectés à Internet.
Or, Moodle en version mobile, peut très bien fonctionner sur une
clé USB, mais ne le peut pas sur un CD-ROM car, lorsque l’étudiant
lance l’application, elle génère des fichiers temporaires
ce qui est impossible sur un CD-ROM. Cela nous a conduits à abandonner
cette solution. Nous demandons quand même dans le questionnaire
si l’utilisation d’une clé USB est possible, car cela
permettrait d’intégrer un environnement d’apprentissage.
Pour la transmission des ressources, nous sommes le Service des Usages
Numériques, nous accompagnons les enseignants à l’adaptation
des ressources. Nous les transférons au référent
établissement qui, lui-même, se charge de les transmettre
au RLE.
Nous nous interrogeons sur la possibilité de mettre en place un
espace numérique dédié au RLE.
Dans une intervention, ce matin, monsieur Gauvreau disait qu’effectivement
le RLE n’avait plus accès à Internet à partir
de son poste et que cela reposait sur son investissement bénévole
à télécharger des ressources depuis son domicile.
Avec un des établissements pénitentiaires, nous avons expérimenté
l’ouverture d’un espace numérique sur la plateforme
pédagogique connectée à Internet, dans lequel les
ressources ont été déposées. De cette manière,
le RLE pouvait télécharger, au fur et à mesure de
l’apprentissage de l’étudiant, les ressources correspondantes.
Nous n’avons effectué qu’une seule expérimentation
en la matière.
Le RLE pouvait également interagir sur la plateforme, poser des
questions sur le forum, etc.
Par rapport à l’envoi d’un CD-ROM, l’avantage,
si un enseignant actualise son cours, dépose une ressource, réside
dans le fait que nous pouvons envoyer une alerte au RLE afin de l’informer
et nous avons un effet beaucoup plus dynamique. Sinon il faudrait créer
un nouveau CD-ROM, l’envoyer, etc. ce qui induit une démarche
beaucoup plus complexe.
Questions/réponses :
Alexandre Lorio
(Université de Caen Basse Normandie)
: J’ai une question concernant la création d’un espace
unique pour les RLE. Dans le cadre de l’Université de Rouen,
nous inscrivons directement les RLE dans l’espace de cours, avec
les étudiants inscrits au cursus à distance.
Pourquoi avoir choisi un espace particulier ?
Patricia Cavallo :
Parce que nous avons adapté les ressources. Je dirais que chaque
enseignant prend en main son espace de cours, décide ou non d’y
faire figurer ses objectifs, le temps moyen d’apprentissage. Ce
sont des informations qui ne figurent pas obligatoirement dans tous les
espaces de cours, alors que nous veillons à ce que cela figure
pour les étudiants incarcérés. Cet espace numérique
nous permet aussi d’interagir avec le RLE en l’absence d’étudiants.
Participante :
Pourrez-vous nous expliquer, en ce qui concerne les ressources, si ce
sont les mêmes pour les étudiants en présentiel ou
EAD classique par rapport à ce que vient d’évoquer
mon collègue ?
Participant : La clé USB dont vous parlez, est-ce une clé
dédiée à un étudiant ?
Laurence Havé :
Sur cette clé USB, on pourrait envisager d’installer un Moodle
mobile avec tous les cours destinés à l’étudiant,
bien entendu sans aucune connexion Internet.
Participant : Il y a une circulaire signée d’un directeur
de l’administration pénitentiaire en 2010 qui autorise l’utilisation
de clés USB par les enseignants. Les enseignants sont les seuls
acteurs du milieu pénitentiaire en détention qui ont cette
possibilité.
En revanche, ce que vous nous décrivez semble assez complexe, car
il me semble que cela poserait un problème plus que technique.
Patricia Cavallo :
Vous voulez dire un problème de sécurité ?
Participant : Un problème de sécurité, surtout de
sécurité informatique car nous n’avons pas eu le temps
de l’aborder ce matin, mais la question de la sécurité
informatique à l’intérieur des établissements
pénitentiaires ne se limite pas à la problématique
d’empêcher de détenu de communiquer avec un autre,
mais porte sur des questions de sécurisation informatique du réseau
de la pénitentiaire qui, comme tous les réseaux institutionnels,
est un réseau extrêmement sensible, pour lequel il y a des
règles de sécurité rigoureuses, avec un niveau d’exigences
peut être supérieur à celui d’autres administrations.
Patricia Cavallo
: En fait, nous nous étions posé cette question d’un
point purement pédagogique pour reconstituer l’environnement
d’apprentissage.
Laurence Havé,
Le suivi pédagogique de l’étudiant.
Nous avons essayé de mettre en place un outil pour assurer le suivi
pédagogique de l’étudiant, puisque les étudiants
incarcérés ne peuvent avoir accès aux forums ou à
la messagerie comme les étudiants classiques en EAD. Il s’agit
d’un outil « papier » qui va permettre une communication
asynchrone : la « fiche navette ».
Dans sa partie gauche, c’est
l’étudiant qui indique ECUE par ECUE (Eléments constitutifs
d'unités d'enseignement), ses questions pédagogiques. Il
le transmet au RLE qui envoie au référent établissement
cette fiche navette afin qu’il apporte une réponse. La réponse
est envoyée au RLR qui la transmet à l’étudiant.
Il s’agit de la seule méthode de communication que nous avons
pu trouver entre l’étudiant et l’enseignant.
Nous l’avons testée et nous nous sommes rendu compte qu’il
y a des questions qui ressortent, notamment en ce qui concerne la gestion
du temps de travail et la méthodologie. Ce sont en définitive
les mêmes questions que pose à un étudiant en EAD
classique.
Cette fiche navette leur permet quand même d’avoir ce lien
entre l’enseignant et l’apprenant. Nous envoyons cette fiche
navette au deux semestres.
Les examens et les résultats.
Les examens sont soumis aux modalités du contrôle des connaissances
adoptées chaque année en conseil des études. Nous
avons du contrôle continu, du contrôle terminal ainsi que
des oraux.
En milieu carcéral, le contrôle continu et le contrôle
terminal sont envisageables, la difficulté tient aux oraux.
En tant que responsable des examens, pour un étudiant incarcéré,
je prends les modalités de contrôle des connaissances qui
ont été adoptées et je regarde si elles sont compatibles
avec le milieu carcéral.
Si ce n’est pas le cas, au cas où ce soient des oraux par
exemple ou un dossier à fournir avec soutenance à l’oral,
je rencontre l’enseignant responsable du cours et cherche à
trouver les modalités adaptées au contexte carcéral.
Souvent l’oral est transposé en un exposé ou sous
forme d’une ou deux questions. Si nous avons plus de la moitié
de la formation pour laquelle les modalités de contrôle des
connaissances doivent être adaptées, j’effectue une
demande auprès de la Vice-Présidente du Conseil des Etudes
l’université afin de savoir si je peux effectuer ce changement.
Il est très rare d’avoir à demander un changement
de modalités au Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire pour
les étudiants en milieu carcéral. Nous avons une majorité
d’examens écrits terminaux.
L’organisation des épreuves est importante. J’envoie
au RLE la convocation, le calendrier des examens et aussi les copies vierges,
le brouillon, les sujets cachetés comme je le fais pour une centre
d’examen quelconque.
Le RLE est responsable de l’examen au sein de l’univers carcéral,
il l’organise. Nous fournissons une enveloppe d’expédition
rapide pour que les copies nous soient remises rapidement afin qu’elles
soient transmises aux enseignants pour correction et que les notes soient
transmises rapidement à l’étudiant. Ceci afin de savoir
si l’étudiant souhaite passer la seconde évaluation.
Le retour des ressources pédagogiques.
Certains enseignants ont demandé à ce que les ressources
pédagogiques soient retournées à l’Université
Paul Valéry. Nous avons travaillé en collaboration avec
le service juridique et avons produit un document engageant le RLE à
nous retourner la ressource pédagogique, CD-ROM, DVD-ROM, à
la fin des examens. Une fois encore, c’est une démarche collaborative
entre le référent établissement et le RLE qui sont
les deux acteurs essentiels au fonctionnement du système.
Patricia Cavallo :
Votre retour est important pour nous, par rapport à ce que nous
vous avons présenté. Si vous avez des remarques concernant
le contenu du Guide, sur le questionnaire que nous faisons parvenir à
l’établissement carcéral. Nous nous interrogeons également
sur l’évaluation de la satisfaction des acteurs : les enseignants,
le RLE ainsi que l’étudiant, surtout en ce qui concerne les
ressources et la façon de les utiliser. Si vous avez des retours
d’expérience, nous sommes bien sûr preneurs afin que
nous avancions tous dans la même direction.
Dominique Poincelot :
Vous avez toutes les coordonnées sur le Guide et le site de la
FIED. Nous sommes preneurs, pour le groupe de travail, de vos retours.
oOo
FIED - Alain Boivin |